Astro-Politique : Panorama 2016

L’année 2016 se place principalement sous les cycles Jupiter Saturne (carré exact les 23 mars et 26 mai), Saturne Neptune (carré exact les 18 juin et 10 septembre) et Jupiter Pluton (trigone exact les 16 mars, 26 juin et carré exact le 25 novembre). 2016 marque aussi l’amorce progressive de la fin du carré Uranus Pluton. En tenant compte de l’orbe, ce dernier est encore présent en janvier (Pluton 15° Capricorne – Uranus 16° Bélier), en février (Pluton 16° Capricorne – Uranus 17° Bélier), ensuite le carré est séparatif de 2° d’orbe et, à partir du mois de mai, il entame sa fin puisqu’Uranus entre dans les 20° du signe du Bélier alors que Pluton évoluera entre les 14° et 17° du Capricorne.

 

Jupiter Saturne

JUPITER – SATURNE

Le cycle Jupiter Saturne — dans le signe de la Vierge pour Jupiter et du Sagittaire pour Saturne — ces deux astres forment un carré décroissant, aspect de dynamique saturnienne.

Jupiter est une force d’expansion et d’extériorisation et Saturne une force de restriction et d’intériorisation.

Dans le signe de terre de la Vierge, Jupiter est à l’étroit, sa marche de manœuvre est moins large, il doit revoir ses ambitions à la baisse, envisager les choses avec plus de sérieux et moins d’emphase. Mercure qui a maîtrise sur la Vierge et par conséquent sur Jupiter lui demande plus de rigueur, de rationalité, de précisions afin de mieux cibler ses objectifs. Tout débordement conduirait à des erreurs qu’il faudrait bon an mal an corriger par la suite.

A contrario, dans le signe du Sagittaire, Saturne se sent plus enclin à sortir de sa réserve habituelle. Sa froide raison cède un peu de terrain à l’ambition démesurée donc moins calculée, soupesée, d’où des prises de risques inconséquents à la fois sur le plan économique et juridique (maîtrise de Jupiter pour ce dernier). Il ressent la nécessité d’accroitre son pouvoir, sa force, ses désirs sont plus impétueux. Son avidité peut devenir insatiable, sans discernement. Nous avons donc une configuration fortement ambivalente qui demande beaucoup de recul et de prudence quant aux décisions à prendre à la fois sur les questions liées à l’ordre (Saturne) et le pouvoir, la justice (Jupiter). Le cycle Jupiter Saturne régit aussi l’Europe.

  • L’Europe reste instable, et va connaître encore des heures difficiles, sa fragilité étant de plus en plus palpable. Manuel Valls parle d’une Europe disloquée. Les mois d’avril, mai et juin seront particulièrement sensibles. Le carré Saturne Neptune s’inscrit dans le flot des migrants : comment réguler, organiser leurs venues (Saturne) afin de ne pas se laisser dépasser, submerger par un flot incessant (Neptune). L’opposition de Jupiter à Neptune, au plus serrée, durant les mois de mai et juin accentuera entre autres ce problème. Le manque de cohésion de l’Europe sur cette question ne fait que fragiliser sa structure (Saturne) et l’impossibilité de trouver un accord (Jupiter) peut entraîner des fractures internes avec de lourdes conséquences.
  • La Grèce risquerait d’être encore sous les feux de la rampe. Alexis Tsipras (28/7/1974 – 1 h 30 à Athènes. Source : Didier Geslain et Yves Lenoble) pourrait connaître des heures sombres. Soulèvement, protestation du peuple grec contre le régime imposé ? La position de Tsipras risquerait d’être menacée. Songera-t-il à démissionner ? Cette question pourrait être soulevée… Toujours est-il qu’il va passer par des moments très tendus, la rétrogradation de Mars qui débute le 17 avril risquerait de marquer un cap critique pour lui.
  • Jupiter en Vierge parle aussi de la santé. Tout laisse à présager que le milieu médical va connaître encore des vicissitudes. Baisses d’effectif, moyens réduits, diminution des remboursements, etc. Le carré en T Jupiter Saturne Neptune exprime une tension, un mécontentement accru. Marisol Touraine (7/3/1959 à 17 h 35. Paris ; acte n° 354. Source Astrotheme), ministre de la santé sera sous les feux de la rampe mais sous un éclairage sombre. Le carré en T de son thème qui met en scène Jupiter Lune Pluton (l’opposition Pluton Lune se place dans l’axe VI – XII lié précisément à la santé) n’est pas l’indice d’une forte popularité et celle-ci risque d’être encore égratignée. Dès le mois de mars (Saturne au carré exact à son Soleil natal le 18 mars), elle entre dans un climat de difficultés, de contraintes, voire d’obstacles qui lui demanderont beaucoup de force pour imposer ses diktats. Dans la foulée, l’opposition de Jupiter à son Soleil natal mettra son autorité à rude épreuve…

Par ailleurs, Jupiter en Vierge exprime aussi la baisse du nombre de médecins généralistes et l’accroissement du paramédical l’axe Vierge Poissons, soit l’axe VI – XII. Neptune en Poissons marque cette vague d’intérêt grandissant pour la médecine parallèle, alternative basée sur la naturopathie, phytothérapie, les énergies, etc. Il y a là une opposition sur la vision, la conception de la médecine, Vierge rationaliste, matérialiste, Poissons, spirituels, ouvert sur approche globale de l’être (Neptune). L’opposition de Jupiter et Neptune, toutes les deux ayant maîtrise sur les Poissons, exprime cette division dans le monde médical et les mutations qui s’ensuivront dans le futur.

Jupiter Pluton

JUPITER – PLUTON

Ce trigone est ambigu vu le contexte général. Il entretient l’opacité d’une situation mondiale inquiétante. La puissance de Zeus collabore avec les forces obscures d’Hades.

  • Cette configuration s’apparente à la menace terroriste. Elle opère dans l’ombre et frappe sans pitié aucune sous le couvert de pseudo messages religieux portés par des prophètes autoproclamés promettant la porte du paradis. Nous voyons là en action les configurations Neptune opposé à Jupiter, ce dernier trigone Pluton. Jupiter Neptune, l’inflation, la propagation planétaire de la pulsion de mort symbolisée par Pluton.
  • C’est aussi le pétrole (Pluton l’or noir par opposition au Soleil, l’or doré) lié au monde occulte, opaque de la finance, les deux nerfs de la guerre. Penser que des affaires juteuses se font sous cet aspect au détriment de toute valeur morale ne semble pas outrancier. Il n’est que de constater le pouvoir et la toute-puissance croissante des banques pour s’en convaincre. Mais ce pouvoir ne saurait se poursuivre. La formation du carré Jupiter Pluton en fin d’année 2016 et sa reformation à partir de fin mars 2017 mettra à mal cette pieuvre planétaire. Ce coup-ci, il y a désaccord, Zeus viendra contrecarrer les plans de Hades. Le pouvoir politique (Jupiter) se décidera-t-il à mettre un frein réel et concret à la ploutocratie (Pluton) ? Amorce d’un renversement de perspective ?…
  • Dans une conférence que j’avais donnée le 6 mars 2010 dans le cadre du congrès Astrologique Source – Sep Hermes, j’écrivais : Pluton c’est la force révolutionnaire dans ce tout ce qu’elle a de névralgique, elle frappe les zones les plus profondes, les plus vulnérables, la faiblesse n’a pas droit à la parole sous son règne… Ainsi, sur le plan collectif, Pluton en Capricorne pourrait entraîner de graves crises pour les institutions, attaquer à la racine les grandes structures sur lesquelles notre histoire s’est construite et tout ce qui représente avec elles le pouvoir en place. Gardons à l’esprit que Pluton pèse les âmes après la mort, exprimant ainsi le jugement implacable mais nécessaire à toute évolution. Une nouvelle conception de la fonction politique serait ainsi à envisager dans ses fondements même. Une nécessité impérative pour ne pas dire impérieuse pour le politique d’en passer par le pôle éthique. Il va sans dire que l’exigence irait de paire vraisemblablement avec une dureté pour ne pas dire inflexibilité, on ne bâtit pas une cathédrale en un seul jour et sans en avoir reçu au préalable l’initiation.
  • Sur un terrain positif, cet aspect peut aussi favoriser la recherche médicale, donner une avancée significative dans la lutte contre les pathologies graves telles que le sida, le cancer et les maladies génétiques.

 Saturne Neptune

 SATURNE – NEPTUNE

Dans des études antérieures, j’avais beaucoup insisté sur ce cycle en expliquant que la dissonance qu’allaient entretenir ces deux astres aurait de lourdes répercussions sur la Gauche.

Dans un article daté du 5 septembre 2014, intitulé : « P. S. Quel avenir ? », et en prenant pour base d’analyse le thème de la Ve République et celui du congrès d’Epinay en 1971, j’écrivais (pardonnez-moi de me citer à nouveau), : Saute immédiatement aux yeux la conjonction de la Ve République : Jupiter (29°01 Scorpion) Neptune (1°09 Sagittaire) à l’opposition de la conjonction Saturne (29°22 Taureau) Vénus (1° 28 Gémeaux). Axe de tension s’il en est, lequel se renforcera par le transit de Saturne sur la conjonction Jupiter Neptune dès janvier 2015, et ce durant toute l’année. Phase critique impliquant de profondes remises en question et des freins de tout genre (la double pression de Saturne s’y exprimera pleinement par le fait qu’il sera à l’opposition de lui-même). Un temps fort se fera sentir entre les mois de juin et octobre 2015 par le retour de Saturne sur Jupiter. De tels aspects ne sont guère propices à une relance, à un nouveau rebond, mais portent sur une reconstruction des fondements mêmes sur lesquels le Parti socialiste s’est édifié et a évolué. Cette phase, en première analyse involutive, si elle est bien appréhendée devrait marquer la déconstruction de ce parti pour ensuite en venir à la phase dite évolutive. En effet, n’oublions pas Uranus actuellement en Bélier qui formera un sextile au Mars en Verseau (congrès d’Épinay) et un sesquicarré à Neptune en Sagittaire (congrès d’Épinay). Reconsolidation et renouveau par le sextile à Mars et table rase des vieilles lanternes par le sesquicarré à Neptune. Mais cette reconstruction nécessitera du temps, et la formation du carré Saturne Sagittaire à Neptune Poissons durant l’année 2015 incline en ce sens et ne joue guère en faveur des forces dites de gauche. Le carré exerce un frein, une marche à franchir et celle-ci réclame beaucoup de prudence et par conséquent du temps à la fois pour la réflexion et, ensuite, pour redéfinir clairement son identité politique…

Le P. S n’en est-il pas là ? À l’heure où nous parlons d’une « droitisation » du P. S. et de l’importance précisément de l’identité. Cette droitisation qui va à la fois compliquer et faciliter les prévisions pour les présidentielles de 2017 puisque peu importe le camp, ce sera la droite libérale — la précision s’impose désormais — qui l’emportera. Le trigone en signe de feu Saturne/Sagittaire – Uranus/Bélier marque l’ascension lente et persistante (Saturne) des forces du libéralisme (Uranus). Ainsi, s’interroger sur l’identité du futur président de la République, et sans vouloir minimiser l’importance de la fonction, devient presque secondaire.

Le fait que se reforme le cycle Jupiter Saturne Neptune en cette année 2016, sous-tend et invite à reconsidérer en totalité la fonction du politique, du pouvoir et de la justice dans le respect de la dignité humaine. Là aussi, une mutation subtile s’opère et prendra vraisemblablement son nouvel essor lors de la reformation du cycle (conjonction) Saturne-Neptune tout au début du Bélier en 2026. Les valeurs de renouveau, d’impulsion du Bélier portée par l’universel de Neptune et consolidées par Saturne. Formulé différemment, L’utopie (Neptune) s’incarne dans la réalité (Saturne) et la transforme par un nouvel élan (Bélier). Une autre conception et incarnation de la fonction politique s’inscrivant dans une volonté collective, le citoyen trouvant sa pleine et entière cohérence par un rôle participatif réel et concret. La fin du mythe de l’homme providentiel, tel que le véhicule l’élection présidentielle au suffrage universel direct ? Naissance d’une VIe république qui a déjà commencé par des réformes apportées à la Constitution à la suite des attentats (ces changements s’étant fait dans le sillage de l’opposition Jupiter Neptune, cycle de la Ve république) ? Le taux d’abstention qui augmente ou se maintient à chaque élection n’est-il pas la preuve que le peuple n’adhère plus à ce système des partis et de son représentant porteur soi-disant de la solution à tous les maux ?

Une précision. Par utopie, je n’entends pas une forme d’idéalisme béat, et ce même si une part d’idéalisme est nécessaire, c’est un moteur. Par utopie, je me réfère à « l’absence de lieu » ou « lieu du bonheur » tiré du roman « Utopia » du philosophe et théologien Thomas More. Naissance le 7/02/1478 2 h 30 [cal. Julien] 15/02/1478 2 h 30 [cal. Grégorien] sous une conjonction Uranus Neptune du Scorpion au lever : l’humanisme utopique. Appelé aussi le Socrate chrétien, il mourut pour ses idées, ses convictions par décapitation le 6 juillet 1535.

 Thomas MoreSaint Thomas More, 1527, The Frick Collection, New York.

Plus proche de nous, le philosophe Alain Badiou (17/01/1937 – 15 h 30 à Rabat – source Didier Geslain) né précisément sous le cycle par opposition Saturne X (Poissons) Neptune IV (Vierge) déclare dans une interview du 11 janvier[1] à propos des attentats du 13 novembre 2015 : […] Je n’ai jamais été communiste, au sens électoral du mot. J’appelle « communisme » la possibilité de proposer à la jeunesse planétaire autre chose que le mauvais choix entre une inclusion résignée dans le dispositif consommateur existant et des échappées nihilistes sauvages. […] Il y a à l’évidence chez ces jeunes assassins les effets d’un désir d’Occident opprimé ou impossible. Cette passion fondamentale, on la trouve un peu partout, et c’est la clé des choses: étant donné qu’un autre monde n’est pas possible, alors pourquoi n’avons-nous pas de place dans celui-ci? Si on se représente qu’aucun autre monde n’est possible, il est intolérable de ne pas avoir de place dans celui-ci, une place conforme aux critères de ce monde: argent, confort, consommation… Cette frustration ouvre un espace à l’instinct de mort: la place qu’on désire est aussi celle qu’on va haïr puisqu’on ne peut pas l’avoir. C’est un ressort subjectif classique.

 

Nous incombe donc le devoir et la responsabilité de trouver à la fois ce lieu intérieur et extérieur afin de reconstruire un monde à visage humain. Ce « vivre ensemble » que l’on scande sans cesse. Quoi que l’on dise, pense, nous y sommes dans ce vivre ensemble dont l’importance et la fragilité s’accentuent depuis l’entrée de Neptune en Poissons. Il reste à présent à trouver la formule qui permettra d’établir un champ des possibles, c’est-à-dire et pour paraphraser Rimbaud (oui, encore lui), « trouver le lieu et la formule ». Le lieu : le terrain d’entente. D’ici le 20 février 2026 (conjonction Saturne Neptune à 0° Bélier, renouveau du cycle), nous avons donc 10 ans devant nous.

Malgré toutes les vicissitudes par lesquelles elle devra passer, l’humanité est encore loin d’avoir dit son dernier mot…

 

Fabrice Pascaud

[1] Notre mal vient de plus loin, Penser les tueries du 13 novembre. Alain Badiou. Éditions Fayard.

À propos de l'auteur : Fabrice Pascaud

Astrologue et tarologue. 40 ans d’expérience. A été membre du comité de lecture de la revue « L’astrologue » fondée en 1968 par André Barbault. A exercé conjointement à son activité d’astrologue et de tarologue, le métier de journaliste durant 23 ans. Ses compétences ont été saluées par 4 étoiles dans le Guide de la voyance d’Anne Placier.

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4 Commentaires

  1. Fabien DIODORE 2 mai 2016 à 20 h 57 min

    JE REMARQUE QUE VOTRE ETUDE EST TROP TECHNIQUE EN PLUS VOUS SEMBLEZ NÉGLIGER LES RÉTROGRADATIONS DES PLANÈTES LENTES A COMMENCER PAR JUPITER 4 MOIS JUSQU 9/5 PUIS LE TOUR DE SATURNE 4 MOIS SUIVI DE MARS 45 JOURS JUSQU AU 29/6 PLUS NEPTUNE LE 14/6 PLUS MERCURE LE 29.5 ON PEUT DIRE QUE 2016 EST PEU GENEREUSE SUR TOUS LES PLANS SANS COMPTER QUE LA FRANCE EST DIRIGÉE PAR DEUX HOMMES ROYALISTES NES SOUS LE SIGNE DU LION A NE PAS CONFONDRE AVEC LE PASSE DE LA GAUCHE LIBÉRALE OU PAS !et das l attente du transit de jupiter en balance bonne chance dés le 9/5

    • Fabrice 3 mai 2016 à 7 h 57 min

      Cher Fabien DIODORE
      je me permettrai de vous retourner la compliment pour ce qui est de l’étude trop technique lorsque je lis votre commentaire. Je semble oublier, dites-vous. Eh bien non ! Mais il ne m’apparait pas nécessaire de mettre tous les points en reliefs dans une étude prévisionnelle au point de la rendre encore plus technique ! Enfin, vous insistez sur le signe du lion, mais le signe épouse le cycle astrologique mais ne le devance pas. Enfin, si votre remarque sur le plan symbolique est juste quant à associer le lion au royalisme de par la maîtrise solaire, dans les faits, on peut noter le contraire, ne serait-ce qu’avec Fidel Castro né sous ce signe et qui ne fut aucunement royaliste dans son acception politique, sans oublier Jean-Luc Mélenchon, voire Martine Aubry, etc. Merci de votre message.

  2. Beatrice 26 janvier 2016 à 10 h 20 min

    Ce que j’aime avec vous Fabrice c’est que l’attente est toujours comblée ! Il est dense ce nouvel article. Et je mesure toute la difficulté de ce type d’étude. Je pratique l’astrologie depuis une vingtaine d’année mais je n’ai jamais osé me lancer dans la mondiale. C’est trop gigantesque ! il y a tellement de paramètres qui interviennent.
    C’est pour cela que j’aime vous lire sur ce sujet qui me dépasse ocmplètement.
    C’est vrai que les articles techniques, théoriques, vous en faites peu, mais il y a tant de livres qui existent sur ces sujets.
    Merci Fabrice

    • Fabrice 26 janvier 2016 à 13 h 23 min

      En effet Béatrice, l’astrologie mondiale est un peu âpre, elle ne repose pas sur le champ psychologique d’où un vocabulaire sec. Il est vrai aussi comme vous le soulignez que les paramètres sont très nombreux ce qui entraîne une grande fluctuation sur le plan interprétatif. Puis, le grand problème comme je le précise fréquemment c’est le « comment » et « où »; comment la configuration va-t-elle se déployer et où, en quel lieu ? Là est le grand vide auquel nous confronte l’astrologie mondiale. Reste que la théorie des cycles est d’une grande pertinence et se vérifie sur le terrain historique. Là, nulle pirouette psychologique mais une prévision et le rendez-vous avec les faits autrement dit avec l’Histoire.
      Merci Béatrice et ne lâchez pas l’astrologie individuelle, c’est par elle que l’on commence et elle est essentielle car, jusqu’à preuve du contraire, ce ne sont pas les cycles qui écrivent l’histoire mais l’homme.

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